Une société se juge à sa capacité à protéger les plus faibles de ses membres, ceux qui sont fragilisés par leur grand âge ou par un handicap physique ou moral, ceux qui éprouvent les plus vives difficultés à s’adapter à une vie sociale. Si elle n’était plus capable de les accompagner et de les aider à vivre, cela signifierait qu’elle délaisse la force du droit et se résigne à la loi du plus fort.

Annie BEUSTES Présidente de l’AGTNC